Puratos - ' Du wellbeing au welldoing’'’
L’attention portée au bien-être est un risque que l’entreprise alimentaire Puratos peut maîtriser avec brio. C’est en partie grâce à son intense collaboration avec Bâloise et B-Tonic.
Pour la deuxième année consécutive, Puratos utilise un remboursement de prime pour aiguiller sa politique de bien-être sur la bonne voie. « L’année dernière, nous avons demandé à B-Tonic d’inventorier toutes les actions menées au sein de Puratos
en matière de bien-être, de formation et de développement personnel à l’aide du People Sustainability Scan », explique Joost Strubbe, HR Director chez Puratos.
« Après une série de séances d’inspiration et d’ateliers, nous avons échafaudé ensemble un plan d’action avec des projets qui s’articulent autour de différents thèmes : une alimentation saine pour nos collaborateurs, un environnement de travail sûr et une meilleure assistance des cadres »
La clé de la santé des salariés : une approche globale
Le bien-être des collaborateurs ne concerne pas seulement le bien-être mental ou émotionnel, mais aussi le bien-être physique et financier. Ils sont tous indissociablement liés et nécessitent une vision à long terme et une approche dans la durée.
Selon Joost Strubbe, le bien-être chez Puratos fait partie intégrante de l’agenda des ressources humaines. « Notre entreprise est active dans de très nombreux pays. Nous avons donc défini une politique de bien-être à l’échelle mondiale. C’est important non seulement pour nos collaborateurs, mais aussi pour Puratos en tant qu’employeur. Nous constatons l’importance d’avoir des collaborateurs forts, productifs et résolument engagés. Après tout, nous sommes convaincus que, in fine, le wellbeing mène au welldoing. »
Puratos a réalisé un « People Sustainability journey » avec B-Tonic pour cartographier tous leurs efforts en matière de bien-être au sein de leur organisation. Nous avons élaboré ensemble un plan d’action pluriannuel sur mesure, étroitement lié aux objectifs de développement durable (ODD) des Nations unies.
